Pseudo-poète(esse) je me suis penchée à l'écrit sur ... (oui découvrez en lisant!) y ajoutant dans le même temps l'isotopie de la chevalerie.
Une jeune coquette s'étant mariée
S'acoquinait pourtant avec maints romantiques.
Le soleil couché, son époux endormit
Aussitôt, elle s'adonnait à l'éveil de ses interdits.
Aucun remords, aucune limite et plusieurs compagnons.
Son alliance au doigt, son esprit à l'abandon
La volage, après que s'éteignent les lumières,
Jouait au jeu dangereux qu'est l'adultère.
Chaque soir un cavalier différent.
Hier un preux croisé et demain un cuirassier.
Leurs chevaux endossés, allant courtiser la belle
Que cachait par une armure cette pseudo-pucelle.
Nulle ombre, nul souci, seulement des désirs assouvis.
Venant le jour où dans cette obscurité,
Un énième homme voulut l'essayer.
Prise de passion, son visage elle n'eut voulu dévoiler.
Le plaisir d'un soir, mais le regret de toute une vie.
Car retrouvant sa demeure, non l'objet d'une de ses conquêtes
elle eut découvert. Mais le gantelet de son propre frater.
Ö toi, Tuosa ( tu osas), pour ton frère Inces
Quelles impure tu fais lorsque celui-ci est derrière toi!