roman

Bonjour, comme indiqué dans la présentation je compose un roman médiéval. Pourquoi ? Je suis fasciné par ce monde merveilleux. Je souhaite enrichir mes connaissances personnels.
Bien évidement je souhaite respecter au maximum cette période et évité des fautes dans les hiérarchies, le mode de vie, les protocoles.
J'ai déjà eu réponde à un personnage, le moine supérieur qui n'est autre que le fidèle conseillé de mon roi.
j'ai beaucoup de choses à apprendre.
Comme il m'a été indiqué, je vais recherché les cartes de cette époque, il fraudais que je casses des terres qui n'ont jamais (dans la réalité) existé. C'est un roman ;=)
Merci d'avant à votre gentillesse.

PS: pour le langage médiéval, avez vous des conseils pour les dialogues? est-ce compliqué, comment les rédiger.

à très bientôt

avenir_positif a écrit:

(...)

PS: pour le langage médiéval, avez vous des conseils pour les dialogues? est-ce compliqué, comment les rédiger.

à très bientôt

Si tu veux faire "historique", ça dépend de la période que tu veux représenter. Quelle que soit la période du moyen-âge, tu as des dictionnaires de français médiéval, "d'ancien français" qui existent, accessibles dans un peu toutes les médiathèques et BU, voire dans des librairies ... Ou sinon tu peux opter pour la solution Mireille Calmel, à savoir, si tu connais un peu le patois des régions (ou proches de régions) dont tu parles, tu utilises parfois certaines expressions particulières ... (En ce moment je lis "La chambre maudite" qui illustre bien mon propos...)
Dans tous les cas, pour le confort du lecteur, il me semble convenable de mettre des notes en bas de page ou en annexe voire d'incruster dans le récit l'explication de ces expressions ...

Je pense qu'il ne faut pas exagérer l'emploi des anciennes langues, nationales ou locales. Songez qu'à l'autre bout, le lecteur est le plus souvent totalement non initié et qu'il peut trouver pénible un langage qui le renvoie systématiquement en annexe.
Ainsi, vos efforts risquent d'être bien mal récompensé en ne trouvant pas son public ( jeune pour la plupart )

Songez bien que vôtre roman, le spectacle que vous comptez offrir au public, se doit d'être agréable à tout points de vue. Il doit donc évoluer entre qualité et facilité.

Ceci n'est toutefois que mon point de vue. Prenez-le pour un encouragement.

A bientôt.

Je rejoins le point de vue du Seigneur Aragorn, surtout que de nos jours tout doit être en mode "accés-facile-pour-tout-public-au-détriment-des-contenus-pertinents".
Sans rentrer dans ce débat, je pense que devoir se référer sans cesse à un annexe, hacherai le rythme de lecture pour les non initiés! néanmoins c'est pourtant le genre de détail qui pourrait me donner envie d'ouvrir un bouquin (chose que je n'ai pas faites depuis.... longtemps^^).
Où alors intégrer la chose, mais pas de façon excessive peut être... où faire deux versions du bouquin: une soft et une euh.. hard?!?

La facilité ne doit pas se faire au détriment de la qualité, tel n'est pas mon propos, mais seulement la modeler aux goûts du jour. Il n'est pas évident que Tolkien, lui-même, eut obtenu de nos jours le même succès qu'à son époque.
Comme pour toutes les sauces, il faut savoir doser.

A bientôt.

Heathen Knight a écrit:

Je rejoins le point de vue du Seigneur Aragorn, surtout que de nos jours tout doit être en mode "accés-facile-pour-tout-public-au-détriment-des-contenus-pertinents".
Sans rentrer dans ce débat, je pense que devoir se référer sans cesse à un annexe, hacherai le rythme de lecture pour les non initiés! (...)

Tout à fait d'accord, c'est bien pour ça que je te disais que ça ne doit se limiter éventuellement qu'à des petites expressions ici ou là, et pour cela, les notes de bas de page pour être compréhensible, ça reste encore l'idéal! Tu as un réglage spécifique sous word pour en mettre (je connais pas open office) et pour ces deux logiciels il faudrait demander à des étudiants en mémoire aguerris! (Je suis en maîtrise, mais toujours pas réussi à retrouver où et comment on peut les faire )...

Vos idée et conseil me sont d'un immense secours. je ferais une édition spécial pour Heathen Knight. Je plaisante (mais j'y penserais ), mais l'idée des expressions, qui par leur nature des mots, peuvent se traduire avec logique serais un plus. Sans excès comme vous me l'avez indiqué. Ceci pourrait être magnifique.
Ce qui me turlupine le plus, c'est le mode de vie, les hiérarchies militaire. Je crois savoir que l'église avait une influence très importante, le personnage du moine supérieur est conseillé du roi dans mon livre, il m'a été indiqué que c'était le cas.
Lors de la visite du château des roi de Majorque, j'ai pris connaissance que le roi et la reine ne vivais pas ensemble. Ils avaient même chaqu'un leur chapelle. Ce qui se passe c'est que j'ai du mal à identifier les différents temps.
Je suis, bien évidement, au chapitre un du livre, n'ayant pas encore toutes les connaissances médiéval nécessaire. Mais j'ai les personnages.
Le Roi Guillaume IV, une princesse Elisabeth privée de son royaumes, un magicien identique à Merlin, un chevalier noir qui en rajoute une couche, un chevalier proche du roi, une charmante gardienne du temples et quelques rebondissement. Enfin je me presse d'écrire et partager à l'un ou l'autre d'entre vous que saurez garder le secret tout en donnant la critique, qu'elle soit bonne ou mauvaise, je ne prend pas mal les choses

Merci infiniment, je suis vraiment ravis de faire votre rencontre vous m'êtes toutes et tous très sympathique.

Bonne journée à bientôt

Olivier

Pour les hiérarchies, voici quelques indications.

Tout en haut, nous trouvons bien sur le roi et ses enfants, les princes et princesses. Viennent ensuite les ducs. C'est là un titre purement honorifique pour souligner l'ancienneté de la famille. Nous trouvons ensuite les Marquis qui ont un grand pouvoir militaire. Marquis vient de Marche ( ou marquisat ) qui signifie frontière. Les Marquis surveillent donc les frontières. Ils doivent être efficaces. Ils sont nommés par le roi et peuvent être démis de leurs titres s'ils ne sont pas à la hauteur de leur tâche.
Viennent ensuite les Comtes, auxquels on confie une comté qu'ils dirigent pour la justice et la perception des impôts. Ils doivent cependant partager leur pouvoir avec les évêques. Les Comtés correspondent le plus souvent aux limites des Evéchés.
Viennent ensuite les Barons, nobles de second ordre et vassaux des Comtes.
Suivent les Chevaliers et pour finir, leur écuyers ( futurs chevaliers en attente d'adoubement).

Tous ces gens forment le système féodal. A savoir que le plus petit s'engage par serment a son supérieur jusqu'au titre suprême. Au tout début, le roi donnait, ou ôtait, les titres selon son bon vouloir mais, le temps passant, les nobles sont devenus plus puissants et ont exigés l' hérédité des titres. A certaines époques, les comtes devinrent pratiquement indépendants , au point de choisir quels roi ils allaient servir.